27 mai 2008
La transe du guerrier.
82. Sur ce sujet très gênant, la cruauté, je m’interroge encore un peu en songeant à la jouissance. N’a-t-on pas entendu parler, à toutes les époques historiques, de soldats conquérant une position, une ville, un village, un douar (village nomade en Afrique du nord), prendre plaisir au butin, certes, mais aussi au viol et au dépeçage d’individus encore geignants, et poser pour la photo entre camarades, brandissant des têtes de combattants vaincus? J’ai déjà vu de telles photos, mais je ne sais pas si elles étaient truquées. Est-il vrai aussi que le tortionnaire mâle bande en s’appropriant la douleur de sa victime, et que le tortionnaire femelle ressente des ondes souveraines dans les cuisses, le bas-ventre et les seins ?
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